Personne n’est à l’abri d’un oubli, d’une approximation ou d’une maladresse dans la rédaction du dossier. Le secteur public numérique se distingue par une forte entraide : il est conseillé de s’appuyer sur les réseaux d’agents, les hubs territoriaux pour un numérique inclusif, ou les associations comme Déclic ou France urbaine pour demander conseils et relectures croisées.
- De nombreuses collectivités mettent en place des comités de lecture internes, sollicitant les DSI, les responsables de la commande publique ou même le conseil des jeunes sur la pertinence du projet.
- Un œil extérieur (intercommunalité, autre porteur ayant déjà candidaté) détecte souvent les oublis, les passages trop techniques ou les points faibles à réexpliquer.
Ce dialogue, en plus d’assurer la complétude du dossier, permet souvent d’améliorer la maturité et la cohérence du projet. Il est également pertinent de suivre les retours de lauréats publiés sur les sites institutionnels, ou de participer à des ateliers de partage d’expérience, nombre d’entre eux étant régulièrement animés par les DREAL, les CRIGE (Centres Régionaux d’Information Géographique), ou les hubs numériques locaux.